La saison du Basilic est lancée

Parce que nous voulons favoriser les producteurs locaux et mettre en œuvre des matières premières réellement produites en Provence, le basilic qui rentre dans la composition des recettes de La Conserverie Au Bec Fin est cultivé à quelques kilomètres de Cogolin. Un véritable basilic de Provence aux saveurs incroyables, qui ne va pas tarder à être transformé...

9 juin 2014

Parce que nous voulons favoriser les producteurs locaux et mettre en œuvre des matières premières réellement produites en Provence, le basilic qui rentre dans la composition des recettes de La Conserverie Au Bec Fin est cultivé à quelques kilomètres de Cogolin.

Un véritable basilic de Provence aux saveurs incroyables, qui ne va pas tarder à être transformé... Cette plante aromatique a traversé les siècles et, de tout temps, elle a trouvé une place de choix chez les gourmets. Les grecs anciens et les romains lui conféraient un statut tout particulier et la considérait comme « la plante royale ».

Des atouts gustatifs qui sont toujours très recherchés.

Dans la famille de Philippe AUDA, on le sait bien. Voilà plus de 30 ans que l’on cultive les herbes aromatiques. D’abord dans les Alpes-Maritimes et depuis 2 ans à Roquebrune-sur-Argens dans le Var, au sein de la SCEA Les Garrigues, où chaque année entre 2500 et 5000 m² sont dédiés au basilic.

«Nous nous sommes orientés vers une production de qualité, particulièrement riche en composants aromatiques, et c’est cela qui a séduit La Conserverie Au Bec Fin", explique Philippe AUDA.

Au final, l’ensemble du basilic utilisé dans les recettes de la « Soupe au Pistou », ou le « Basilic à l’huile d’Olive », ou encore le « Pesto » et la soupe provençale « Tomates Basilic » provient des champs de Roquebrune-sur-Argens. Une histoire d’équilibre « Cultiver le basilic, c’est savoir trouver le bon équilibre avec la nature précise l’agriculteur varois. Cette plante est assez sensible, et les parasites nombreux. ».
Et à la SCEA Les Garrigues, depuis longtemps on développe des méthodes « raisonnées », en veillant tout particulièrement à l’aspect nutrition des plantes, et en privilégiant des méthodes de lutte intégrée. Par exemple, contre la mouche blanche (Aleurode pour les spécialistes), on fera appel à l’Encarsia Formosa, une petite guêpe dont les œufs se nourrissent de ce parasite. Des pratiques raisonnées qui font partie du cahier des charges établi par la Conserverie Au Bec Fin et qui conditionne le choix de ses fournisseurs.

C’est ce que l’on appelle le « Contrat Nature », qui vise à développer de réelles relations de confiance, afin d’être en mesure de proposer à nos consommateurs des produits de qualité. Un bon basilic, symbole des saveurs de la gastronomie provençale, ça se mérite !

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